Main du conducteur de voiture

Pluie, froid, journées qui se raccourcissent de plus en plus… Ça y est, on rentre dans cette période déprimante où rien ne va. Je ne sais pas toi, mais moi en ce moment, toute cette grisaille et les temps d’ensoleillement de plus en plus courts font monter la déprime en moi. Mais tu sais quoi ? la joie de vivre et la motivation reprennent systématiquement le dessus : Je me suis rendue compte que ces derniers mois, à chaque fois que je dois prendre une décision ou que je sens l’envie de paresse (excessive) monter en moi, où que j’ai un moment de blues, l’une de ces cinq phrases me revient en mémoire et me donne une autre perspective sur la situation.

Je trouve qu’aujourd’hui est un jour idéal pour les partager avec toi. Prends le temps de lire chacune d’elle, de réfléchir au sens profond qu’elle a et de te demander comment la mettre en pratique dans ta vie. Tu verras, cela fait énormement de bien.

1. Ceux qui sont partis aujourd’hui pensaient avoir le temps hier.

La formule est peut-être violente mais quels seraient tes trois plus gros regrets si on te disait que demain tu allais mourir ? L’être humain a cette capacité merveilleuse d’avoir conscience de sa potentielle mort imminente mais de ne pas s’en formaliser au quotidien. Heureusement, sinon la terre serait peuplée d’êtres dépressifs. Mais même si on n’y pense pas au quotidien, cette réalité n’en est pas moins vraie. Arrêtons de tout le temps penser qu’on a le temps. On n’a le temps de rien. La vie c’est un claquement de doigts. Au boulout.

2. Dans le bon comme dans le mauvais, rien n’est définitif.

Les bonnes choses ont une fin. On les considère d’ailleurs bonnes car justement elles ont une fin, sinon elles seraient juste… normales ? C’est important de les vivre en pleine conscience, de s’ancrer dans le présent. Ce n’est pas un exercice facile, dans cette époque où tout va trop vite, mais les bonnes choses et les bons moments on en vit tous des dizaines au quotidien (oui oui) il faut juste en prendre conscience, et les savourer car ils sont fugaces.

Les mauvaises choses aussi ont une fin. La spirale du malheur et de la souffrance peut être très dure à porter (je parle vraiment en connaissance de cause). Mais comme pour la spirale du bon, elle n’est que temporaire. Si pour le bon, il est important de s’ancrer dans le maintenant, pour le mauvais, c’est tout le contraire, il faut se projeter dans l’après et avoir conscience que cet après existe et va se manifester.

3. Il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne font pas d’erreurs.

Est-ce que t’as déjà eu des pics de stress à cause d’erreurs faites au travail ? de projets lancés un peu à l’arrache ? de l’idée du siècle qui était en fait une grosse connerie ? 😅 Les erreurs sont les meilleures leçons, plus que la théorie. Faire des erreurs est juste la manifestation du fait qu’on essaie, et qu’on a encore de la marge d’amélioration.

4. Le mieux est l’ennemi du bien.

J’en parlais en conclusion dans cet article, 50% de quelque chose est mieux que 100% de rien. N’attendons pas que tout soit parfait pour commencer certains projets. Apprendre en faisant est une des meilleures écoles.

5. L’inertie est l’ennemie du corps.

Oui je sais, il fait froid, il pleut, il fait noir… on a juste envie de rester sous le plaid avec des grosses chaussettes, de quoi manger et binger THE BOYS et GEN V. Mais non, non, non. Il faut bouger son popotin ! Prendre soin de sa santé commence par des gestes aussi simple qu’activer son corps et boire 2L d’eau par jour. Pour me motiver à faire plus de sport sur les prochains mois qui arrivent, je me suis inscrite au prochain semi-marathon, affaire à suivre !

Et toi, c’est quoi ton motto du moment ?

With love. ♥️

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *